Le nom du projet « Vamonos en señas » ce qui veut dire  « Laissez-nous avancer avec des signes »

L’idée centrale est de montrer les besoins du monde sourd dans les pays pour lesquels l’équipe fait du vélo. Il s’agit du Brésil, de la Bolivie, du Pérou et de l’Ecuador. L’équipe consiste toujours de quatre Allemands (une personne sourde entre eux) et d’ au moins deux personnes locales (idéale serait un interprète + une p. sourd local). Ensemble on visite des écoles et autres institutions pour des sourds en vélo. Idéalement on peut « recruter » des élèves sourdes de ces écoles pour aller avec nous un certain temps.

Avec ou sans eux on organise des petits workshops dans les collèges régulières pour enseigner un peu la langue de signe et augmenter le savoir et la tolérance vers les personnes sourdes.

Tout le projet se passe entre le mois de Septembre 2009 jusqu’à Janvier 2010. C’est financé par différentes sources : Matériaux des Sponsors – nouveaux et aussi du matériaux vieux des anciens projets d’initiateur. L’argent est donné par ces personnes, l’initiateur et les copilotes. Chaque (co)pilot doit financier ses propres coûts de voyage ainsi que la nourriture. Les participants locaux devraient financier au moins leur nourriture (si possible).

Avec ou sans eux on organise des petits workshops dans les collèges régulières pour enseigner un peu la langue de signe et augmenter le savoir et la tolérance vers les personnes sourdes.

Tout le projet se passe entre le mois de Septembre 2009 jusqu’à Janvier 2010. C’est financé par différentes sources : Matériaux des Sponsors – nouveaux et aussi du matériaux vieux des anciens projets d’initiateur. L’argent est donné par ces personnes, l’initiateur et les copilotes. Chaque (co)pilot doit financier ses propres coûts de voyage ainsi que la nourriture. Les participants locaux devraient financier au moins leur nourriture (si possible).

Notre plan d’aller en Brésil a été pas mal détruit par mon bateau qui est arrivé deux semaines trop tard au port de Rio Grande do Sul au lieu de Salvador, seulement peu de 3000 km plus au sud. Il fallait prendre l’avion à la dernière étape bien que je le déteste – mais laisser attendre une autre semaine mon équipe n’aurait pas marché non plus. Ils ont attendu déjà deux semaines – heureusement chez des amis à Sao Paulo.